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Un Week - end sur Hénin 2
13/06/2010 21:57
Fête des écoles à Bracke - Desrousseaux.
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Un week end sur Hénin
13/06/2010 21:54
Nos délégués se sont rendus sur les diverses manifestations qui se sont déroulées ce week end. Ils ont commencé par la kermesse des enfants de l’école Bracke – Desrousseaux qui s’est déroulée dans une excellente ambiance. A noter la forte affluence des parents d’élèves conquis par le spectacle de leur progéniture. Le samedi 12 même quartier mais cette fois, c’est un marché aux puces qui a mobilisé nos représentants. Encore de riches rencontres sur un des marchés les plus actifs de notre ville. Le dimanche fut consacré aux rencontres de modélisme sur le lac du bord des eaux où nous avons rencontré Mr Konczak avec toujours un réel plaisir. Ce fut ensuite un passage au Stade Raymonde Delabre où l’équipe de football féminin à rencontré Juvisy. Leur défaite 1-0 ne reflète pas la figuration du match où nos féminines ont vaillamment lutté. Ensuite un spectacle à l’Escapade sous l’égide de Mme Abdouci où théâtre et danse contemporaine furent mis à l’honneur. Enfin nous nous sommes rendus au tournois de football des vétérans au Stade limousin où le Stade héninois à une nouvelle fois remporté le trophée. Encore une preuve s’il en est de la grande vitalité de ce club que l’on ne peut laisser choir. Notre ville en a besoin comme il a besoin des autres clubs de foot et des autres clubs, tous sports confondus. Ceux ci sont synonymes de vitalité sportive sur notre territoire. Nous invitons nos élus à ne pas l'oublier !
Le comité local
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NDA sur I-Télé le 22 juin au matin
10/06/2010 20:16
NDA sera l’invité de la matinale de Laurent Bazin, sur I-Télé, le mardi 22 juin de 8 h 10 à 8 h 30.
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Non au démantèlement du service public de l’électricité !
09/06/2010 18:33
Dans une intervention prononcée à l'Assemblée nationale, dans le cadre de l'examen de la loi de Nouvelle Organisation du Marché de l'Electricité (NOME), NDA s'est élevé contre la double spoliation des Français que constitue la cession de 25% de la production nucléaire de base aux concurrents d'EDF
Débat parlementaire sur le projet de loi de Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité (NOME) Mardi 8 juin 2010 Intervention de Nicolas DUPONT-AIGNAN
Mes Chers Collègues,
Avec l’examen du projet de loi « NOME », la France atteint le comble de l’absurde, puisque nous abordons l’étape charnière de la démolition, sans nécessité ni contrepartie, d’un service public vital, performant et envié par de nombreux pays dans le reste du monde.
En effet, nous savons tous ici, grâce à l’effort patient de la Nation en faveur du développement de l’hydroélectrique et de l’industrie électronucléaire, que la France dispose de l’électricité la moins chère d’Europe.
Hélas, plus pour longtemps ! Cet atout majeur pour l’équilibre social et la compétitivité de notre économie est petit à petit détricoté par Bruxelles.
Cela ne date pas d’hier, mais nous en avons aujourd’hui sous les yeux la conséquence concrète. Rappelez-vous, l’ouverture à la concurrence du marché de l’électricité constituait une décision tellement contraire à l’intérêt national, à l’intérêt général, à l’intérêt le plus évident de tous les consommateurs, qu’il a fallu une union nationale honteuse pour s’y résoudre, ce afin qu’aucun camp ne puisse accuser l’autre d’avoir capitulé face à la dérégulation bruxelloise.
Cette dérive a déjà fait beaucoup de dégâts, malgré les assurances, jamais suivies d’effet, dont on avait pris soin de l’envelopper. Après la séparation EDF / GDF et la vente de cette dernière à Suez, après la transformation de La Poste en SA qui préfigure là aussi la privatisation, alors qu’ l’on songe déjà à la SNCF et à la RATP, cette dérive conduit aujourd’hui à spolier deux fois la communauté nationale de sa ressource électrique : une première fois en cédant sans contrepartie à des intérêts privés un avantage public loyalement obtenu et payé par l’impôt des Français, une seconde fois en permettant auxdits intérêts privés de revendre à ces mêmes Français le bien public détourné avec de juteux profits. Un peu comme si on autorisait un cambrioleur à jouer, au prix fort, les recéleurs auprès de ses propres victimes !
Car nous le savons tous ici : la France et les Français, grâce à l’impulsion visionnaire du général de Gaulle, ont acquis loyalement un avantage énergétique unique au monde avec leur industrie électronucléaire, un avantage qui est totalement inattaquable au regard des principes de la concurrence, aussi tatillons soient-ils ! Il est illégitime de le mettre en cause aujourd’hui, pour permettre à des opérateurs privés parasites, incapables d’offrir un meilleur prix, d’exister sur le marché français de l’électricité. Cette manière d’ouvrir le marché est logiquement ubuesque, puisqu’elle consiste à créer une distorsion de concurrence au détriment de l’entreprise mieux-disante, à notre propre détriment !
Quelle illustration plus flagrante de l’absurdité qu’il y a à ouvrir à la concurrence un marché qui, par nature, n’en a nullement besoin et dont les expériences de libéralisation, notamment aux Etats-Unis, ont toutes fait la preuve de leur ineptie.
Les conséquences à attendre de cette décision catastrophique ne sont que trop prévisibles :
Un alignement progressif des tarifs réglementés sur les standards européens, 30 à 50% plus chers, ce qui signifie leur disparition pure et simple. Et on peut faire confiance à la Commission de Régulation de l’Energie, à qui la présente loi confie hypocritement la fixation des tarifs réglementés, pour trouver moult prétexte à leur augmentation. La disparition des tarifs réglementés, c’est évidemment l’objectif inavoué de tout le monde - les Français mis à part bien entendu. C’est l’objectif de la Commission de Bruxelles, qui se moque en réalité de faire baisser les prix au profit du consommateur, ne jure que par des multinationales surpuissantes, dictant leur loi aux peuples, et qui menace notre pays d’un recours à la CJCE s’il ne se débrouille pas pour mettre fin lui-même aux tarifs réglementés.
Mais cette hausse fera également les affaires d’EDF qui, comme toute multinationale indifférente à son pays d’origine, voit déjà les profits gigantesque qu’elle pourra réaliser.
L’Etat lui non plus ne sera pas en reste puisque, en tant que premier actionnaire, il va toucher des dividendes supplémentaires astronomiques, qui seront en réalité autant de nouveaux prélèvements obligatoires dissimulés.
Au-delà du renchérissement des tarifs, qui va pénaliser nos concitoyens et la compétitivité de la France, il y a aussi des craintes évidentes pour la maintenance des réseaux. La CRE elle-même a récemment pointé le désengagement d’EDF, plus intéressé désormais dans l’acquisition à prix d’or de parts de marché en Europe que dans l’investissement dans le réseau national. Le phénomène n’est ni nouveau ni propre au secteur de l’énergie : les opérateurs privés délégataires de missions de service public veulent les profits, pas les contraintes d’intérêt général qui sont censées aller avec, mais auxquelles ils font tout pour se soustraire. Que les Français n’aient aucune illusion : les pannes géantes comme celles de New-York, c’est pour bientôt !
Pour les mêmes raisons, on peut redouter aussi une difficulté pour financer le renouvellement du parc électronucléaire. Les multinationales ne voudront pas payer. Mais sans doute, me direz-vous, se tourneront-elles alors vers l’Etat, pour qu’il mobilise l’argent des contribuables…
Comment croire, enfin, que les nouveaux acteurs du marché de l’énergie, résistent à la tentation de vendre avec un énorme profit une électricité normalement destinée aux Français ? On peut leur faire confiance, ainsi qu’à la Commission de Bruxelles qui fait tout pour unifier les marchés européens de l’électricité, ils trouveront bien le moyen de contourner tous les obstacles.
Ainsi donc, tout le monde a intérêt à l’ouverture à la concurrence. Tout le monde, sauf les Français eux-mêmes bien sûr, sauf aussi une certaine idée de la France et de la République, sacrifiée sur l’autel de l’avidité et de la haine européiste du service public. Pourquoi mettre par terre ce qui marche et mécontenter nos concitoyens, sinon pour cette raison ?
Des actionnaires qui s’empiffrent, des Français qui trinquent, le tout sous le regard repu d’une Commission de Bruxelles trop contente d’avoir détruit un service public majeur, autant qu’un fleuron national. Non, décidément, ne comptez pas sur moi, Madame le Ministre, pour soutenir cette loi de capitulation et de collaboration !
NDA
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Non au monde des Bisounours
09/06/2010 18:19
Plutôt Porte, Lévy et Cohn-Bendit que Demorand, Roger-Petit et Duflot
par David Desgouilles
A la suite d’une chronique où il avait parodié Dominique de Villepin1 en train de répéter quatre fois “j’encule Sarkozy”, Didier Porte a reçu une lettre recommandée de la direction de la radio de service public où il sévit. Il semble donc bien que celui qui chronique le jeudi matin sur France Inter soit dans le collimateur de Jean-Luc Hees et Philippe Val et que les chances de le réécouter en septembre soient amincies.
Que Philippe Val, avec son passé journalistico-caricaturiste, feigne de ne pas comprendre cette chronique est déjà assez risible. Mais que, comme le souligne à juste titre Guy Birenbaum, Demorand, Guetta et Legrand soient allés manifester leur réprobation sur le plateau du Grand Journal, voilà qui n’est pas un signe de grande élégance, pour utiliser une litote et ne pas sombrer aussi dans l’utilisation des mots d’oiseaux, des fois que des enfants me lisent, comme dirait Demorand.
Demorand, donc, s’est fondé sur le bon exemple qu’il faut donner aux enfants pour condamner ainsi son confrère. Les enfants ont bon dos. Au passage, je me demande si tous les idéologues pédagogistes que France Inter a accueillis depuis des années, y compris au micro de Demorand, n’ont pas fait davantage pour la mauvaise éducation de nos enfants que les sketches de Didier Porte. Mais c’est un autre sujet.
Le lendemain -ou le surlendemain- c’était à Cécile Duflot de se montrer extrêmement choquée par le “crétin” lancé par Cohn-Bendit au numéro 2 des Verts, Jean-Vincent Placé. La secrétaire nationale s’est ensuite employée, en vain, à convaincre l’ancien lideur soixanthuitard qu’il avait là prononcé un mot d’une gravité exceptionnelle. On aurait pu croire à ce moment là qu’elle allait faire appel à une cellule d’aide psychologique pour le crétin en question et pour tous ceux qui avaient été choqués comme elle par ce mot du Diable.
Quelques jours avant, c’était à Bruno Roger-Petit de s’émouvoir d’une réplique d’Elisabeth Lévy à Roland Dumas. L’ancien ministre venait d’accuser la journaliste d’hitlérisme -pas moins- et elle lui avait rétorqué que la seule réponse adaptée aurait été de lui balancer son verre à la figure2. “Comportement tragique, pathétique, mais aussi, il faut bien le dire, la démonstration in vivo de ce à quoi mène la pensée profonde d’Elisabeth Lévy: la violence.”: telle est la sentence de Roger-Petit. On n’est pas étonné que le même blogueur, ancien journaliste de France-télévisions, s’interroge aussi sur le cas de Didier Porte, dont la chronique dut être insoutenable à ses oreilles de Bisounours. On s’interroge davantage sur le fait qu’il s’émeuve sur de telles broutilles alors qu’il accumule par ailleurs les points Godwin3. Qu’on en juge : en moins de trois jours, il a soutenu Georges-Marc Benamou lorsque ce dernier qualifiait Zemmour de fasciste et le rangeait à la droite de Pétain avant de prendre la défense de Dumas sur la qualification nazie d’Elisabeth Lévy. Pour Roger-Petit, dire “j’encule” même dans une parodie, cela vaut licenciement. Et seulement évoquer le fait qu’on aurait très bien pu, si on n’était civilisée, répondre par un jet d’objet ou de liquide, cela suffit à confirmer à démontrer votre intrinsèque violence. Alors que la violence, justement, on pensait davantage que c’était effectivement jeter le verre et ne rien dire. En revanche, renvoyer sans arrêt ses semblables aux heures les plus sombres de notre Histoire, voilà qui ne souffre d’aucune gravité.
Au risque donc d’être taxé de complicité avec ces violents personnages que sont Daniel Cohn-Bendit, Didier Porte et Elisabeth Lévy, on préférera largement la compagnie de ces derniers au monde des Bisounours que nous réservent Cécile Duflot, Nicolas Demorand et Bruno Roger-Petit.
Parce que ce monde des Bisounours là, il est vraiment totalitaire. Et, in fine, beaucoup plus violent.
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